Vous retrouverez ici les textes de mes Réels Instagram
Je pratique la méditation depuis une quinzaine d'années, pas tous les jours, mais quand même très souvent. Pour « rentrer à la maison », pour se mettre à l'intérieur de soi, pour contacter et savourer son univers intérieur, retrouver ses ressources, son calme, la sérénité, il n'y a pas mieux !
Beaucoup de femmes de 50 ans ne souffrent pas d’un manque de présence extérieure… elles souffrent d’avoir quitté leur propre centre. »La solitude qui fait le plus mal, ce n’est pas l’absence de quelqu’un.
J’adore cette chanson Petites filles, de Louisadonna et Mathilde, dont le refrain dit :“Méfiez-vous, les petites filles sont des punks”.Et je me suis dit qu’à 50 ans, il est grand temps de redevenir punk.
En tant que psychologue, j’accompagne Sarah, qui va bientôt avoir 20 ans.elle m’a dit :“Avoir 20 ans, ça me stresse trop… je passe vraiment adulte, ça me fait peur.Je ne suis plus une enfant ni une ado… c’est fini !
Avez-vous déjà entendu parler d’équicoaching ? Des amis l’ont testé lors d’une journée de team-building, et leur récit m’a happée. L’un d’eux était dans l’enclos avec le cheval avec la consigne de le faire venir à lui, mais tant qu’il avait peur, le cheval restait à distance malgré ses appels.
Quelqu’un m’a écrit en message privé pour me dire :« J’ai envie de travailler avec toi, mais je ne sais pas si je veux le faire en psycho ou en coaching. »C’est une question qu’on me pose souvent. Alors oui, je suis à la fois psychologue et coach.
Ce qui est fascinant avec la chute des œstrogènes à la ménopause, c’est qu’on la voit comme une fin.Et c’est vrai… mais ce n’est pas la fin de la jeunesse, pas la fin de la partie cool de la vie! elle signe la fin d’une période de 30 ans où nous avons été assignées à des rôles : des rôles sociaux, des rôles biologiques, des rôles construits.
Le burn-out est un processus d’épuisement qui culmine avec l’effondrement du cortisol et la perte totale d’énergie. Prévenir cette spirale demande de véritables respirations dans nos vies. Ici, je raconte comment un rituel annuel à Minorque agit comme une protection durable, en offrant au cerveau un vide régénérateur et au corps une récupération profonde.
Plonger dans la mer, c’est bien plus qu’un moment de détente : c’est un reset neuronal. En se coupant du mental et de la performance, on active les zones du cerveau liées à la créativité et à l’intégration émotionnelle.
Après mes 50 ans, tout s’est aligné.J’ai bouclé la boucle, je me suis installée à mon compte, et je me suis enfin sentie à ma place. Et c’est ça qui a donné naissance à mon programme ENVOL. Tu veux savoir pourquoi ?
À 25 ans, j’étais la plus jeune femme cadre dans une grande banque. À 50 ans, j’étais fonctionnaire dans une grosse administration. Et deux fois, j’ai tout quitté… À 25 ans, j’ai lâché un CDI prestigieux pour devenir céramiste d’art, avec mes parents.
Il y a un jour où tu te lèves…et tu sais. Tu sais que quelque chose a basculé. Les choses sont claires, posées à l’intérieur de toi.Tu ne fais plus semblant. Tu ne fais plus de concessions sur qui tu es.
Tu connais cette image qu’on voit passer sur Internet ?C’est une chenille et un papillon qui prennent un café ou un verre de vin je ne sais plus.Et la chenille dit au papillon :“Tu as vraiment beaucoup changé… Qu’est-ce que tu as pris ?
Tu sais déjà que tu ne peux plus continuer comme ça. À 50 ans, tu as regardé ta vie en face, bien dans les yeux et tu as senti l’urgence, ce point de bascule discret mais implacable.Et tu sais que la “révolution douce” ne suffira pas.
Elles arrivent souvent dans mon cabinet avec ce même soupir silencieux, ce regard un peu flou qui trahit l’épuisement d’une lutte invisible. Ce qu’elles disent, ce qu’elles pensent être le vrai problème, c’est qu’elles pensent trop.
Tu as 50 ans… et tu te surprends à t’anesthésier un peu plus chaque soir Tu ne l’appelles pas vraiment une addiction. Tu te dis que tu gères.Mais au fond de toi tu sais que tu te mens un peu à toi-même.
Aujourd’hui à la cinquantaine, tu regardes ta vie…Et tu te dis que tu es peut-être passée à côté. Tu n’as pas fait le métier qui te faisait vibrer.Tu n’as pas voyagé comme tu l’aurais voulu.Tu as mis de côté tes envies, tes désirs, ton feu intérieur.
À 50 ans ou +, tu as fait une sorte de bilan de ta vie.Et au milieu de tout ce que tu as vécu et traversé, il y a un point fixe.Quelque chose qui n’a pas bougé.Quelque chose qui reste planté là, dans le cœur, ou dans les tripes.
Téléphone le chantait déja il y a plus de 30 ans et tu as adoré, tu avais compris le message, et pourtant… Tu as plus de 50 ans et tu rêves encore au prince charmant parfois… dans tes moments de vulnérabilité.
À 50 ans, il y a des moments où tout en toi crie :« Je n’en peux plus ! Faut que je change de vie. » Comme si tu avais besoin de muer ! Ça peut arriver avant, mais à 50 ans, ça peut hurler très fort parce que c’est un cap existentiel important et qu’on fait souvent une sorte de bilan d’où on en est dans sa vie.
Souvent à 50 ans, on se sent fatiguée, usée, épuisée, cramée même ! Et on se dit qu’au niveau énergie, c'est vraiment plus comme avant ! Et alors là on se dit : « C'est la ménopause, c'est le cap des 50 ans, c'est la vieillesse qui arrive… » Moi, j'ai envie de te proposer une autre lecture, sur la base d'une métaphore, parce que j'adore les métaphores !
Cette visualisation de l'étage de la cinquantaine, que je t'invite à faire comme je l'ai fait dans ma vidéo d'avant, ce n'est pas juste une méditation pour se détendre. C'est un miroir et un pont vers le réel.
Quand j'imagine l'étage de ma cinquantaine, je vois un un triplex, carrément, parce que quand on rêve on ne compte pas ! Alors autant rêver grand. En bas, c'est un espace d'accueil, qui relie, pour ma vie professionnelle (avec mon cabinet de psychologue) et privée (un studio indépendant, pour les amis de passage).
Tu te souviens de cette métaphore de la vie comme une maison qui se construit étage après étage ?Et qu’à 50 ans on arrive à un étage où tout ce que la société a prévu pour les femmes, c’est de les ranger au grenier en attendant d’être grand-mère 😒😜… Du coup, si tu te laisses contaminer par cette idée, tu risques de faire de cet étage un musée de la vie d’avant, un local à archives des souvenirs… Un étage ou il n’y a a que du vieux et rien de nouveau !
j’aime bien me dire que notre vie ressemble à une maison à plusieurs étages. Et si tu as 50 ans aujourd’hui, tu n’es pas arrivée au grenier ! Je m’explique : De 0 à 10 ans, c’était les fondations.… Pas toujours stables C’est là que tout s’est imprimé dans notre cerveau : les émotions, l’ attachement, les schémas affectifs, les croyances, les petites phrases comme : Et on construit la suite là-dessus.
Tu sais ce qui débarque souvent à 50 ans, sans prévenir ? Les regrets. Comme des petits fantômes du passé, tenaces, qui viennent chuchoter à l’oreille : Ils s’invitent et s’accrochent, ces regrets, comme de vieux disques rayés… Mais aujourd’hui, je veux te souffler autre chose, quelque chose d’inattendu… Et si les regrets n’étaient pas des boulets qui accrochent au passé, mais des boussoles qui montrent ce qui compte vraiment pour toi ?
Tu veux savoir comment hacker la crise des 50 ans ? En gros, si on résume, quand on est une femme autour de 50 ans, on se raconte l’histoire que “Tout est derrière”, que “Ça y est, c'est fini.” Qu’en fait, on a raté notre chance, et il faudra attendre la prochaine vie pour faire mieux 😝 !
À 50 ans, si tu n’as pas compris ça… Il est temps que ça change 😉 ! Ça fait 50 ans ou plus que tu cohabites avec toi-même, et ton dialogue intérieur est toujours négatif ? Je vais enfoncer le clou sur ce point, car il est essentiel de remédier à ça.
Si à 50+ ans tu tu te trouves un peu nulle, pas intéressante, si tu te compares beaucoup aux autres, en te trouvant moins bien Si quand tu entends parler d’amour de soi tu ne comprends pas bien ce que ça veut dire.