Anesthésie du cerveau et des émotions

Tu as 50 ans… et tu te surprends à t’anesthésier un peu plus chaque soir

Tu ne l’appelles pas vraiment une addiction. Tu te dis que tu gères.
Mais au fond de toi tu sais que tu te mens un peu à toi-même.

Tu sais que ce deuxième verre de vin rouge que tu bois chaque soir en préparant le dîner ou devant ta série préférée… ce n’est pas juste un moment de détente. C’est aussi un moyen de combler la solitude et le vide. De mettre un couvercle sur des émotions que tu ne veux pas ressentir.
Tu sais que ces scrolls infinis sur ton téléphone, ces épisodes regardés à la chaîne, ces carrés de chocolat grignotés sans faim… ce ne sont pas des plaisirs anodins.
C’est une manière de t’engourdir.

Tu le sens bien, que ton cerveau fatigue. Que ta pensée se ralentit.
Que tu es moins vive, moins inspirée, moins claire.
Tu mets ça sur le compte de la ménopause, de la cinquantaine, de l’âge…
Mais au fond, tu le sais : ce n’est pas seulement biologique.

C’est émotionnel et existentiel.

Tu restes seule trop souvent. Tu t’endors trop tard devant des écrans au lieu de t’endormir avec un livre entre les mains. Tu repousses chaque jour cet engagement ferme que tu voudrais prendre avec toi-même.
Tu te dis : "Ce soir, je vais faire autrement."
Lire, sortir, écrire, aller au ciné. Comme avant…
Mais dès que la nuit tombe, le même automatisme reprend le dessus.
Et tu te sens nulle, honteuse, coincée.

Tu n’en parles à personne parce que tu n’en es pas bien fière et que tu ne sais même pas à qui en parler. Pourtant tu es lucide : tu sais que ce n’est pas « grave », mais ce n’est pas anodin non plus. C’est un symptôme.

C’est l’arbre qui cache la forêt.

Ce que tu vis là, ce n’est pas une simple question de vin, de sucre ou d’algorithmes.
C’est un appel de ton être profond, qui ne veut plus vivre en veille. De ton corps, de ton cœur, de ton âme, qui demandent à sortir de cette anesthésie du quotidien.

Ce que je te propose dans mon programme d’accompagnement, c’est justement cela :
partir ensemble explorer la forêt. Pas pour te juger ni pour te "réparer".
Mais pour comprendre ce que tu tentes d’éteindre…
Et rallumer doucement ce qui, en toi, demande à vivre à nouveau

Tu n’as pas à rester seule dans ce brouillard.
Tu peux en sortir. Tu n’as qu’à faire un pas vers toi. Un vrai : contacte-moi.

Avec mon programme de coaching, j’ai une carte, une boussole, et une bonne connaissance du terrain.

Je te tiendrai la main et on respectera ton rythme.