Psycho ou coaching ?

Quelqu’un m’a écrit en message privé pour me dire :
« J’ai envie de travailler avec toi, mais je ne sais pas si je veux le faire en psycho ou en coaching. »
C’est une question qu’on me pose souvent.

Alors oui, je suis à la fois psychologue et coach.

👉 En tant que psychologue, je suis généraliste :
je reçois tout type de personnes, pour tout type de problématiques.
Je reçois en présentiel, dans mon cabinet près de Bordeaux, mais aussi en visio.
On peut d’ailleurs me trouver facilement sur Doctolib pour prendre rendez-vous.

Dans ce cadre-là, on travaille sur une souffrance psychologique actuelle — quelque chose qui fait mal, qui provoque de la détresse, de l’anxiété, de la tristesse, un mal-être, une perte de sens.
Et pour comprendre cette souffrance, on va revenir dans le passé, voir ce qui, dans l’enfance ou dans les expériences de vie, a pu semer les graines de ce qui se rejoue aujourd’hui.

Je travaille avec différentes approches intégratives selon la personne et la situation :
l’approche narrative, l’EMDR, la thérapie des schémas, la communication non violente, ou encore l’analyse transactionnelle.
L’objectif, c’est vraiment d’aider la personne à se sentir mieux, à retrouver de la stabilité, de la sérénité, et à avancer plus sereinement dans sa vie.

Ce sont des séances à l’unité, avec un rythme et une fréquence qui s’adaptent à chacun, à sa situation, à son budget, à son rythme intérieur.
C’est un travail sur mesure, basé sur l’écoute active, empathique, et un espace d’accueil bienveillant et sans jugement.

👉 Le coaching, c’est différent.

Là, je m’adresse spécifiquement aux femmes de 50 ans et plus,
et plus particulièrement à celles qui ont, d’une certaine manière, « bien réussi » dans la vie,
mais qui, aujourd’hui, se sentent un peu perdues.
Elles ont envie de changement, mais ne savent plus trop dans quelle direction aller.
Elles se sentent fatiguées, épuisées, parfois elles mettent ça sur le compte de la ménopause … mais en vérité, ce n’est pas que ça.
Souvent, elles ont l’impression d’avoir passé leur vie à s’occuper des autres — des enfants, d’un conjoint, d’un travail prenant — et qu’en chemin, elles se sont oubliées.

Elles ont du mal à dire non, peur des conflits, elles se sentent étouffées à l’intérieur,
parfois envahies par leurs émotions, enfermées dans une vie qui ne leur ressemble plus. D’ailleurs cela va même jusqu’à l’impression d’être enfermée dans un carcans, physiquement, à l’intérieur de leur corps.
Elles ont l’impression que leur vie est derrière elles, que c’est trop tard, qu’elles auraient dû faire autrement.

Et ce qu’elles cherchent aujourd’hui, c’est retrouver de la clarté, de la légèreté, une fluidité intérieure.
Elles veulent savoir ce qu’elles veulent vraiment, retrouver un cap, et oser passer à l’action pour se remettre au centre de leur vie, faire passer leurs besoins en premier — sans renier les autres, mais en retrouvant un équilibre juste.

C’est là que mon programme ENVOL intervient.

Ce n’est pas une simple suite de séances : c’est un programme structuré, étape par étape,
conçu comme une véritable dynamique de transformation.
Pendant trois mois, il y a deux séances par mois, un peu plus longues que des séances classiques (environ une heure et quart), et surtout, entre les séances, il y a des exercices, des ressources, et une communication quotidienne sur WhatsApp.

Ce suivi soutenu permet d’avancer beaucoup plus vite :
c’est une rampe de lancement, une piste de décollage vers une autre vie.
On parle d’une transformation identitaire, d’un avant et d’un après.

Et c’est exactement pour ça que je l’ai appelé ENVOL.